Les nouveaux stablecoins de Fidelity et de la famille Trump

Les stablecoins de Fidelity et de la famille Trump

Fidelity Investments et World Liberty Financial, le projet de finance décentralisée (DeFi) soutenu par la famille Trump, ont annoncé le lancement de deux nouvelles stablecoins.

Deux actualités importantes sur les stablecoins ont récemment retenu l’attention du marché des cryptomonnaies. La première concerne Fidelity Investments, l’une des principales sociétés d’investissement américaines et un émetteur d’ETF au comptant sur le bitcoin.

Le second stablecoin, USD1, est promu par World Liberty Financial (WLFI), un projet de finance décentralisée (DeFi) soutenu par l’ancien président américain Donald Trump. Lisez la suite pour en savoir plus sur ces deux nouveaux stablecoins sur le marché des cryptomonnaies !

Fidelity Investments se prépare à lancer un stablecoin

Fidelity Investments, l’un des plus grands gestionnaires d’actifs mondiaux, prévoit de lancer son stablecoin d’ici fin mai 2025. La société d’investissement basée à Boston vise à créer sa version de l’argent numérique, après avoir exploré le secteur des cryptomonnaies avec l’introduction d’ETF au comptant pour le Bitcoin et l’Ethereum en 2024.

Le stablecoin à venir fait partie de la récente proposition de Fidelity à la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis d’introduire une version tokenisée de son Treasury Digital Fund. Ce fonds comprend des liquidités et des bons du Trésor américain (titres d’État) et n’est accessible qu’aux investisseurs institutionnels et aux fonds spéculatifs.

Cette initiative pourrait avoir été influencée par l’élection de Donald Trump, qui a marqué un changement dans la position de l’administration précédente à l’égard des cryptomonnaies. Dès les premières étapes de sa campagne électorale, Trump a promu des politiques favorables aux cryptomonnaies et soutenu la croissance des stablecoins.

World Liberty Financial lance USD1

Pour illustrer notre point précédent sur le soutien de Donald Trump aux stablecoins, nous présentons des nouvelles récentes concernant World Liberty Financial. Le projet DeFi de la famille Trump a lancé USD1, un stablecoin.

Ce stablecoin, similaire au fonds que Fidelity prévoit d’introduire dans la blockchain par le biais de la tokenisation, sera entièrement garanti par des obligations du Trésor américain, des liquidités ou des actifs équivalents. On en sait encore peu sur USD1, si ce n’est les blockchains sur lesquelles il sera initialement disponible : Ethereum et la Binance Smart Chain, compatible avec l’EVM.

En résumé, les récents développements dans le monde des cryptomonnaies révèlent que Fidelity Investments a décidé de lancer son stablecoin en préparation du lancement public de son Treasury Digital Fund. Ce produit entre dans la catégorie des actifs réels (Real World Asset – RWA) et a un grand potentiel pour stimuler l’adoption des cryptomonnaies.

Le président Donald Trump a également montré un intérêt croissant pour les cryptomonnaies et a activement promu des initiatives visant à positionner les États-Unis en tant que leader dans ce secteur. La création de World Liberty Financial et le lancement de USD1 sont des exemples concrets de cet engagement.

De Tesla à Bitcoin : Standard Chartered révolutionne l’indice Mag 7

Standard Chartered remplace les actions Tesla par des bitcoins

Standard Chartered a remplacé Tesla par Bitcoin dans son indice Mag 7B, invoquant un rendement supérieur et une volatilité plus faible. Découvrez comment les cryptomonnaies s’imposent parmi les actifs d’élite.

Le géant bancaire Standard Chartered a publié un nouveau rapport présentant une variante de l’emblématique indice « Magnificent Seven », qui regroupe les sept plus grandes entreprises technologiques cotées en Bourse. Dans cette nouvelle version, baptisée « Mag 7B », les actions Tesla sont remplacées par des bitcoins.

L’objectif est d’évaluer si les cryptomonnaies peuvent représenter une alternative crédible – voire meilleure – à l’une des entreprises les plus emblématiques de la tech. Les premiers résultats montrent que le Bitcoin a généré des rendements plus élevés, avec une volatilité moindre. Tesla, de son côté, subit un ralentissement notable depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche.

Tesla vs Bitcoin : qu’est-ce que l’indice Mag 7B et le ratio d’information ?

En remplaçant les actions Tesla par du Bitcoin dans l’indice Mag 7 – qui reflète la performance des principaux actifs technologiques mondiaux – on obtient le Mag 7B. Cette idée, née chez Standard Chartered, l’une des principales banques britanniques, a été soutenue par Geoffrey Kendrick, responsable de la recherche sur les actifs numériques de la banque. Selon lui, cette nouvelle composition aurait permis d’obtenir un rendement supérieur d’environ 5 % depuis 2017, tout en réduisant la volatilité annuelle moyenne de près de 2 %.

Ce constat s’appuie notamment sur le ratio d’information, qui mesure la performance ajustée au risque d’un actif, c’est-à-dire le rendement supplémentaire obtenu par rapport à un indice de référence, pondéré par la volatilité de ses écarts. Autrement dit, ce ratio permet d’évaluer la qualité du rendement obtenu en fonction du risque encouru.

En intégrant le Bitcoin à la place de Tesla, l’indice Mag 7 affiche un ratio d’information supérieur : 1,13 contre 1,04. Kendrick justifie ce choix par le comportement du Bitcoin, qui se rapproche davantage de celui d’une action technologique que d’une réserve de valeur traditionnelle. De fait, il est davantage corrélé au Nasdaq 100 – qui regroupe les 100 principales entreprises tech américaines – qu’à l’or.

Par ailleurs, depuis janvier 2025 et le retour de Trump à la présidence, l’évolution du cours du Bitcoin rappelle celle de Nvidia, tandis que celui de Tesla semble suivre celle d’Ethereum en matière de volatilité.

Les portefeuilles institutionnels en Bitcoin vont-ils devenir la norme ?

L’intégration du Bitcoin dans le Mag 7B en remplacement de Tesla dépasse le cadre d’un simple exercice de simulation : elle traduit un changement de paradigme dans l’investissement institutionnel. De plus en plus de fonds, y compris souverains, cherchent à s’exposer directement au Bitcoin. Larry Fink, PDG de BlackRock, l’a souligné à plusieurs reprises au cours des deux dernières années. Avec le lancement récent de l’ETF Bitcoin de BlackRock en Europe, cette dynamique s’accélère. De nombreux épargnants européens fortunés envisagent également de se positionner sur cet actif encore jeune, mais désormais reconnu.

En résumé, l’analyse de Kendrick dépasse la seule question du rendement. La volatilité plus faible obtenue en intégrant le Bitcoin au portefeuille témoigne de sa capacité à équilibrer le risque global d’une allocation technologique. Une chose est sûre : le Bitcoin n’est plus un actif marginal. Il s’impose désormais comme un composant légitime des portefeuilles axés sur l’innovation.

Découvrez comment intégrer le Bitcoin à votre portefeuille dès aujourd’hui.

Investir est simple, mais pas facile : 5 paradoxes de la finance personnelle et du monde crypto

paradoxes de la finance personnelle

La paresse serait-elle une vertu dans le monde de l’investissement ? Découvrez 5 autres idées paradoxales et contre-intuitives (mais vraies) issues de la finance personnelle.

Quels sont les principaux paradoxes de la finance personnelle ? Ce blog se concentre avant tout sur les crypto-monnaies, mais il nous arrive d’explorer d’autres facettes du vaste univers de l’investissement.

Nous sommes récemment tombés sur un article intéressant publié par Dedalo Invest, dans lequel l’auteur, Andrea Gonzali, présente 10 contradictions (ou paradoxes) liés à la gestion financière personnelle. Nous avons choisi de revisiter ce contenu, car plusieurs points abordés résonnent fortement avec les dynamiques du monde crypto.

Le monde de l’investissement : un univers souvent contre-intuitif

L’objectif principal de toute personne qui s’intéresse aux marchés est clair : maximiser les rendements et limiter les pertes. Pourtant, bon nombre de décisions prises par les investisseurs peuvent sembler irrationnelles, surtout avec le recul.

En résumé, la finalité est claire, intuitive et rationnelle. Mais les chemins pour y parvenir sont souvent plus complexes.

Cette complexité n’a pas une seule origine. Historiquement, notre intuition humaine s’est forgée autour de deux objectifs essentiels : assurer notre survie et perpétuer l’espèce. Accroître son capital financier n’en faisait pas partie. Pour citer l’auteur de l’article original :

« Les principes de base sont intuitifs : épargner régulièrement, investir avec bon sens, diversifier son portefeuille et le faire fructifier sur le long terme. Ce qui est complexe, c’est la gestion de l’argent au quotidien. »

  1. La paresse est une vertu

Commençons par ce qui est sans doute l’affirmation la plus paradoxale : la paresse maximise souvent les performances, tandis que l’hyperactivité tend à les freiner. Bien sûr, cette remarque ne vise pas à généraliser ; il existe toujours des exceptions — comme ce cousin de notre ami, un trader de meme coins très actif. Mais lorsqu’on observe les grandes tendances en matière d’investissement et de finance personnelle, certaines croyances profondément ancrées sur la valeur du travail acharné et de l’implication sont remises en question.

Il est essentiel de préciser que, dans ce contexte, la paresse concerne l’aspect opérationnel de l’investissement — à savoir la fréquence des achats, des ventes ou des rééquilibrages — et non le temps consacré à l’apprentissage de concepts ou de théories. Cette logique s’applique également au monde de la crypto. Plus un investisseur effectue de transactions sur une période donnée, plus il augmente ses chances de commettre des erreurs pouvant entraîner des pertes significatives, notamment avec certains types de crypto-monnaies.

Dans la finance traditionnelle, les « portefeuilles paresseux » — c’est-à-dire ceux qui se contentent de diversifier entre quelques classes d’actifs via des instruments simples et peu gourmands en gestion — ont historiquement surpassé bon nombre de stratégies plus complexes et activement gérées. Il en va de même pour les portefeuilles composés principalement de Bitcoin et de quelques altcoins, même sur des horizons d’investissement plus courts.

Plusieurs raisons expliquent ce phénomène. Tout d’abord, chaque transaction réalisée via une plateforme de courtage ou un échange crypto génère des frais et augmente le risque d’erreurs. Ensuite, en raison du caractère imprévisible des marchés, même les investisseurs professionnels ne cherchent plus à « timer » le marché — c’est-à-dire vendre au plus haut et acheter au plus bas. Enfin, il ne faut pas oublier que toute plus-value réalisée à travers le trading est soumise à l’imposition.

  1. « Il faut suivre son intuition » — Vraiment ?

L’intuition est essentielle à notre sécurité : elle nous alerte face au danger avant même qu’il ne soit visible. Mais lorsqu’il s’agit d’investissement, s’y fier peut s’avérer risqué. L’être humain n’investit son argent que depuis peu à l’échelle de l’évolution, alors que notre intuition — et les biais cognitifs qui y sont associés — s’est développée sur des centaines de milliers d’années.

En d’autres termes, notre instinct s’est façonné pour nous protéger des menaces immédiates, comme les animaux sauvages ou les plantes toxiques, pas pour interpréter la complexité des marchés financiers après un crash post-Trump.

Ces biais cognitifs sont des raccourcis mentaux qui influencent nos croyances et nos décisions rapides — avec un impact considérable sur nos choix en matière d’investissement :

  1. Biais d’ancrage : nous attachons une valeur exagérée (et souvent irrationnelle) à certains seuils de prix. Un bon exemple est le seuil des 100 000 $ pour le Bitcoin : de nombreux investisseurs se sont trompés durant le bull market de 2021 en pensant que le BTC atteindrait ce niveau.
  2. Biais de surconfiance : il survient lorsque nous surestimons nos connaissances, notre capacité à prendre de bonnes décisions ou la précision de nos prévisions.
  3. Biais de confirmation : ce biais nous pousse à rechercher uniquement les informations qui confirment nos opinions existantes, en ignorant celles qui les contredisent.

C’est pourquoi les approches d’investissement rigides, basées sur des règles claires et inaltérables — comme une stratégie d’achat périodique suivie d’une conservation à long terme (buy and hold) — donnent souvent de meilleurs résultats que les choix fondés sur l’instinct ou la perception subjective de l’investisseur.

3. Les soldes n’attirent pas les acheteurs

En finance — et tout particulièrement dans le monde de la crypto — une baisse des prix a souvent pour effet d’éloigner les acheteurs, ce qui est paradoxal comparé aux autres secteurs. Par exemple, si une paire de chaussures que nous convoitons voit son prix chuter de 50 %, nous avons tendance à y voir une opportunité et à l’acheter sans hésiter. Dans les marchés financiers, c’est souvent l’inverse qui se produit.

Un meme bien connu illustre parfaitement cette logique inversée : une longue file d’acheteurs lorsque le Bitcoin est à 100 000 $, et plus personne lorsque son prix tombe à 6 000 $.

paradoxes de la finance personnelle bitcoin

Ce phénomène s’explique notamment par l’effet de troupeau : lorsque tout le monde vend, notre instinct nous pousse à faire de même, même si, rationnellement, nous savons que cela pourrait être justement le moment idéal pour acheter. Sur les marchés, les “promotions” font peur, car une baisse de prix est généralement associée à des nouvelles négatives ou à des comportements de panique — ce qui influence la perception des investisseurs, qui anticipent encore plus de pertes.

4. Investir au plus haut est la norme, pas l’exception

Éloignons-nous un instant du secteur crypto pour regarder du côté des marchés financiers traditionnels, et plus précisément du marché boursier. Ce détour ne signifie pas que les concepts évoqués soient exclusifs aux actions, mais simplement que les actifs crypto sont encore jeunes par rapport aux indices boursiers, ce qui limite notre recul historique pour appuyer certains raisonnements.

Pour les investisseurs débutants, une crainte revient souvent : celle d’acheter au plus haut ou d’arriver « trop tard ». Pourtant, si l’on observe l’historique du S&P 500 — l’indice phare qui regroupe les 500 plus grandes entreprises américaines et reflète, dans une large mesure, la tendance générale du marché — cette peur paraît largement infondée.

Depuis sa création en 1957 jusqu’à mars 2025, le S&P 500 a atteint 1 242 nouveaux sommets historiques. Ces records sont généralement espacés de courtes périodes. Bien sûr, il y a eu des exceptions notables, comme les sept années entre 2000 et 2007, ou encore entre 1973 et 1980. Mais dans l’ensemble, le graphique de l’indice montre qu’il passe une grande partie de son temps à proximité de ses plus hauts.

En résumé : dans la finance traditionnelle, atteindre de nouveaux sommets n’est pas un événement exceptionnel, mais bien une normalité.

L’idée selon laquelle il serait plus facile d’investir en période de marché baissier est souvent trompeuse. Lorsque les marchés chutent, la peur et l’incertitude dominent, rendant paradoxalement l’acte d’investissement plus difficile — même si les prix sont bien plus attractifs.

Et dans l’univers crypto ? Pour le moment, le Bitcoin ne peut être comparé au S&P 500, notamment à cause des 50 années d’historique qui les séparent. Cette différence explique en partie pourquoi la valeur du BTC reste plus cyclique et soumise à une forte volatilité.

Cependant, on observe récemment un raccourcissement des cycles entre les plus hauts historiques du Bitcoin — sans doute lié à l’intérêt croissant des investisseurs institutionnels. Avec le temps, même si rien n’est garanti, il est probable que le comportement du Bitcoin se stabilise et se rapproche de celui des actifs traditionnels. L’or en est un bon exemple, car il partage avec le Bitcoin une caractéristique centrale : la rareté.

5. Investir au plus haut est la norme, pas l’exception (suite)

Nous arrivons au cinquième et dernier point, parfaitement résumé par Dedalo Invest à travers ce paradoxe :

  • Pour profiter pleinement des intérêts composés, il faut commencer à investir le plus tôt possible.
  • Mais on ne peut pas agir à l’aveugle : il est essentiel de comprendre ce que l’on fait et de se former avant de se lancer.

La première partie de cette affirmation est assez intuitive si l’on connaît le fonctionnement des intérêts composés : il s’agit des rendements générés non seulement sur le capital initial, mais aussi sur les intérêts déjà accumulés. En d’autres termes, vous gagnez des intérêts… sur vos intérêts. C’est un puissant levier sur le long terme.

Cependant, se lancer sans connaissances solides peut conduire à des erreurs coûteuses — aussi bien financièrement que moralement — et décourager bon nombre de personnes qui finissent par abandonner toute idée d’investissement.

Alors, comment surmonter ce dilemme ?
Commencez tout simplement par vous former ! Explorez les nombreuses ressources pédagogiques disponibles sur notre Académie et notre Blog. Vous y trouverez des contenus accessibles, complets et adaptés pour acquérir les bases de la finance et du monde crypto — à votre rythme.

ETF sur Solana : quand (et si) seront-ils approuvés ?

Les ETF sur Solana seront-ils approuvés ? Quand la SEC prendra-t-elle une décision ?

Les ETF sur Solana n’ont pas encore été approuvés. Certains s’attendaient à une annonce le 25 janvier, date correspondant à la première échéance de la SEC pour les propositions d’approbation des ETF de VanEck, 21Shares, Canary et Bitwise.

Que prévoient les experts face aux récents événements liés au nouveau président des États-Unis ? Quel impact une future approbation pourrait-elle avoir sur le cours de Solana ? Découvrez toutes les réponses dans cet article.

Acheter Solana

Que manque-t-il pour l’approbation des ETF sur Solana ?

D’après certains analystes crypto, la SEC aurait pu approuver les ETF Solana dès le 25 janvier, date correspondant aux premières échéances pour les propositions de VanEck, 21Shares, Canary et Bitwise. Cependant, à l’instar des ETF Bitcoin et Ethereum, les ETF Solana n’ont pas été validés lors de cette première échéance. Il faudra donc attendre au moins jusqu’au 11 mars, date de la deuxième deadline.

Les optimistes soulignent que le président de la SEC n’est plus Gary Gensler, connu pour son opposition de longue date à l’industrie crypto, un sentiment largement partagé au sein du paysage politique démocrate américain. Aujourd’hui, Mark Uyeda, un républicain pro-crypto, a pris ses fonctions. De plus, le contexte politique évolue avec la présence des républicains et de Donald Trump, qui a récemment lancé un meme coin lié à la blockchain Solana.

En résumé, l’avenir des ETF Solana reste incertain. Selon Polymarket, la principale plateforme de prévisions dans le domaine crypto, il y aurait une forte probabilité (89 %) que l’approbation intervienne avant fin 2025, bien que le calendrier reste imprévisible. Avec le retour de Donald Trump au pouvoir, la volatilité du marché semble s’intensifier, ce qui laisse penser que tout peut arriver à tout moment.

Un bon moment pour Solana

Solana affiche d’excellentes performances, que ses ETF soient approuvés en mars ou subissent de nouveaux retards. L’un des facteurs clés de ce succès est le choix du président américain d’utiliser Solana comme infrastructure pour lancer son meme coin officiel.

Passons à des chiffres concrets :

  • La Total Value Locked (TVL) sur le réseau a atteint un nouveau record historique de 12 milliards de dollars, dépassant le précédent sommet de 10 milliards établi en 2022.
  • Les volumes de trading sont également à leur plus haut niveau. Selon DefiLlama, la blockchain Solana a traité plus de 200 milliards de dollars de transactions en janvier seulement.
  • Enfin, les revenus générés par le réseau sont impressionnants. Comme on pouvait s’y attendre au vu des résultats précédents, ils ont frôlé les 100 millions de dollars sur le seul mois de janvier.

Les récents mouvements de prix de Solana (SOL)

Les éléments évoqués précédemment se reflètent également dans l’évolution du prix de Solana, l’une des rares altcoins à avoir enregistré une hausse ces derniers jours.

Après avoir atteint un point bas à 185 $ le 13 janvier, Solana a rebondi avec force, enregistrant quatre jours consécutifs de hausse et atteignant 220 $ le 18 janvier.

Consultez le graphique de Solana !

Cependant, un événement inattendu a bouleversé la dynamique : Donald Trump a lancé son meme coin officiel. À ce moment-là, de nombreux investisseurs en cryptomonnaies ont pris conscience qu’à ce stade du marché, Solana surpasse tous les autres protocoles Layer 1 dans la course à l’adoption massive. En moins de 48 heures, SOL est passé de 220 $ à un nouveau record historique de 295 $.

Après ce rallye, une correction naturelle a ramené son prix autour de 230 $, mais ce repli semble déjà terminé. Désormais, SOL repart à la hausse vers les 270 $.

Jusqu’où peut-il aller dans ce bull market ?

Le calendrier des résultats trimestriels des entreprises cotées

Résultats trimestriels de NVIDIA

Découvrez le calendrier des résultats trimestriels de NVIDIA ainsi que ceux des principales entreprises cotées en bourse.

Le calendrier des publications trimestrielles de NVIDIA et d’autres grandes sociétés du marché boursier est un élément clé pour suivre les tendances du marché. NVIDIA, comme toutes les entreprises cotées en bourse, est tenue de publier un rapport trimestriel tous les trois mois. Ces rapports fournissent des données essentielles sur la performance financière du trimestre précédent, incluant les revenus, bénéfices, dépenses, prévisions futures, et bien plus encore.

Dans cet article, nous expliquons l’importance de ces publications, leur impact sur les décisions des investisseurs et nous vous proposons un calendrier actualisé des prochaines annonces.

Rapports trimestriels : pourquoi des entreprises comme NVIDIA doivent-elles les publier ?

Avant d’examiner le calendrier des résultats trimestriels de NVIDIA et d’autres grandes entreprises cotées en bourse, il est important de comprendre certains éléments clés de ces publications. Tout d’abord, il faut savoir que la publication de ces rapports financiers est une obligation réglementaire, mise en place pour garantir un niveau de transparence suffisant sur les marchés.

Les rapports trimestriels jouent un rôle essentiel pour les investisseurs, leur permettant d’évaluer la performance d’une entreprise. Ils les aident à déterminer si une entreprise est en croissance, si elle génère des bénéfices et leur fournissent les informations nécessaires pour décider d’acheter ou de vendre ses actions.

Ces documents sont également un outil permettant de comparer une entreprise à ses concurrents. Par exemple, les résultats de NVIDIA peuvent être mis en parallèle avec ceux d’autres entreprises du secteur technologique.

  • Les bénéfices générés par la production de GPU sont-ils suffisants pour justifier la capitalisation boursière de NVIDIA ?
  • De nouveaux concurrents émergent-ils, capables de produire à moindre coût ?

Ces questions illustrent l’importance stratégique des rapports trimestriels pour les investisseurs et les analystes financiers.

Comment les résultats trimestriels influencent-ils les marchés ?

Comme pour de nombreuses entreprises cotées en bourse, les résultats trimestriels de NVIDIA ont un impact significatif sur les marchés. Cependant, ces effets ne sont pas toujours évidents et nécessitent une expérience et une analyse approfondie pour être correctement interprétés. En réalité, la relation entre les publications financières et la réaction du marché est complexe et rarement linéaire, ce qui ajoute une part d’incertitude aux dynamiques boursières.

Il n’existe pas de formule exacte pour prévoir comment le marché réagira aux résultats trimestriels. Plusieurs facteurs entrent en jeu, notamment les attentes des investisseurs, qui jouent un rôle clé. En général :

  • Si les résultats d’une entreprise correspondent ou dépassent les prévisions des analystes, l’action a tendance à monter.
  • À l’inverse, si les résultats sont positifs mais inférieurs aux attentes, l’action peut paradoxalement chuter.

Le rôle du contexte macroéconomique

Un autre élément crucial à considérer est l’environnement économique global. En période de faiblesse ou d’incertitude sur les marchés, même des résultats trimestriels solides peuvent ne pas être bien accueillis.

Par exemple, si la Réserve fédérale américaine (Fed) décide d’augmenter les taux d’intérêt lors de la prochaine réunion du Federal Open Market Committee (FOMC) le 29 janvier, alors même des résultats trimestriels favorables pourraient ne pas suffire à faire monter le cours de l’action. À l’inverse, dans un marché haussier, des résultats moyens peuvent être perçus positivement.

Résultats trimestriels de NVIDIA et des grandes entreprises : le calendrier complet

L’année 2025 sera cruciale pour les Big Tech et le marché boursier en général. Voici le calendrier mis à jour des publications des résultats trimestriels des principales entreprises cotées.

Mercredi 15 janvier 2025

  • JPMorgan Chase & Co. (761 milliards $)
  • Wells Fargo & Co. (274 milliards $)
  • Goldman Sachs Group, Inc. (206 milliards $)
  • BlackRock, Inc. (152 milliards $)
  • Citigroup Inc. (153 milliards $)

Jeudi 16 janvier 2025

  • Bank of America Corp. (358,4 milliards $)
  • Morgan Stanley (220,15 milliards $)

Mardi 21 janvier 2025

  • Netflix, Inc. (415,44 milliards $)

Lundi 28 janvier 2025

  • LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton SE (377,21 milliards $)
  • T-Mobile US, Inc. (274,5 milliards $)
  • Alibaba Group Holding Limited (174 milliards $)

Mercredi 29 janvier 2025

  • Meta Platforms, Inc. (659,88 milliards $)
  • Microsoft Corporation (3,23 trillions $)
  • Tesla, Inc. (397,15 milliards $)

Jeudi 30 janvier 2025

  • Apple Inc. (3,46 trillions $)
  • Visa Inc. (647,53 milliards $)
  • Mastercard Incorporated (489,65 milliards $)

Mardi 4 février 2025

  • Alphabet Inc. (Google) (1,91 trillion $)

Jeudi 6 février 2025

  • Amazon.com, Inc. (2,48 trillions $)

Mercredi 26 février 2025

  • NVIDIA Corporation (2,9 trillions $)

2025 : une année clé pour l’intelligence artificielle

Ces derniers jours, il est devenu évident que 2025 sera une année décisive pour évaluer l’impact réel de l’intelligence artificielle. Ce sujet est au cœur des stratégies des plus grandes entreprises mondiales, notamment Meta, Microsoft, NVIDIA et Alphabet.

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Comment faire du staking : toutes les façons d’obtenir des récompenses avec tes cryptos

Staking : obtenir des récompenses avec tes cryptos

Le guide ultime sur le staking de cryptos : à quoi sert le staking, quel service utiliser et quels tokens tu peux bloquer !

Le staking est un mécanisme typique du secteur des cryptomonnaies qui permet le fonctionnement des blockchains Proof-of-Stake. Afin de parvenir à un consensus au sein du réseau (nécessaire pour valider les transactions), ces chaînes particulières n’utilisent pas de ressources externes telles que l’électricité et la puissance de calcul, mais font appel à des ressources internes, à savoir les garanties des utilisateurs. En bref, tout d’abord, le staking est la base du mécanisme de validation d’une blockchain. Mais le staking signifie aussi le simple blocage de crypto pour des récompenses, sans nécessairement devenir un valideur d’un réseau. Dans cet article, nous allons voir comment faire du staking, et toutes les options disponibles pour obtenir des récompenses avec la crypto !

A quoi sert le staking ?

Ceux qui choisissent de faire du staking peuvent avoir des objectifs différents. Il y a ceux qui en font dans le but de devenir un validateur et ceux qui mettent leurs cryptos en staking uniquement pour obtenir des récompenses, déléguant la tâche de valider les transactions aux autres. Examinons tous les types de staking :

1.    Le pari de devenir un validateur de blockchain

Les nœuds de validation d’une blockchain sont chargés de finaliser les transactions de leur réseau. Contrairement à ce qui se passe dans les chaînes Proof-of-Work, dans les chaînes Proof-of-Stake, aucun équipement technique spécial n’est nécessaire pour valider les transactions, il suffit de mettre les cryptos en staking. Dans la plupart des cas, les personnes (ou entités) qui ont une certaine expérience dans le domaine de la blockchain deviennent des validateurs. Après avoir mis un certain montant de cryptomonnaies en staking, il est possible d’ouvrir un nœud. Les conditions requises pour effectuer ce type de staking sont les suivantes : télécharger un portefeuille qui offre la possibilité de faire du staking la chaîne où tu souhaites devenir un nœud, et rester en ligne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Certaines blockchains stipulent également une part minimale de crypto à mettre en staking, par exemple sur Tezos, elle est de 8 000 XTZ, sur Ethereum 2.0, elle sera de 32 ETH.

2. Déléguer sa participation

Si tu ne veux pas gérer toi-même un nœud validateur, tu peux choisir de déléguer ton stake à un nœud existant. La délégation est une pratique alternative pour ceux qui veulent participer au mécanisme de consensus d’une blockchain avec un investissement moindre en temps et en argent. Lorsque tu délègues à un nœud, le montant de cryptomonnaie que tu as mis en staking rejoint le stake total du nœud. De cette façon, le nœud de validation utilisera également tes cryptomonnaies pour contribuer au fonctionnement du réseau. Les récompenses obtenues pour le travail de validation sont ensuite distribuées proportionnellement entre le nœud et ceux qui ont délégué. Tu peux déléguer ton stake à un nœud par le biais de plateformes (décentralisées ou non) qui offrent ce service.

3. Staking pour participer à la gouvernance de la chaîne

Dans certains cas, la fonction du staking est de faire participer les utilisateurs à la gouvernance d’une blockchain. Quiconque met une certaine quantité de cryptomonnaie en staking gagne le droit de voter sur les mises à jour, les améliorations et l’orientation de la feuille de route de la blockchain. Ainsi, le staking augmente la décentralisation des décisions d’un projet.

4. Bloquer ses cryptomonnaies pour des récompenses

Le staking de cryptomonnaies consiste aussi tout simplement à bloquer ses cryptomonnaies pendant une période de temps afin d’obtenir des récompenses, calculées sur une base annuelle et exprimées en APY. Ces récompenses sont l’équivalent de ce que l’on appelle en finance traditionnelle un pourcentage de rendement annuel. Les cryptomonnaies verrouillées ne peuvent pas être échangées ou vendues, tant que la période de staking choisie au début n’a pas expiré. Comment réaliser ce type de staking ? Cette option est particulièrement adaptée à ceux qui ne sont pas particulièrement familiers avec le domaine car elle ne nécessite aucune expertise technique. Il suffit de te renseigner sur le service tiers que tu choisis.

Voyons maintenant où le staking est possible !

Où faire du staking ?

Pour mettre des cryptomonnaies en staking, tu peux choisir différents services tiers, il existe des plateformes décentralisées, des dapps, des exchanges (centralisés ou non) mais aussi des options hors ligne comme du matériel externe.

1. Staking via hardware

Le staking effectué hors ligne est appelé cold staking. Dans ce type de jalonnement, les crypto-monnaies sont verrouillées et stockées dans des portefeuilles froids, c’est-à-dire des portefeuilles non connectés à Internet. Les cold wallets peuvent être du matériel, des portefeuilles papier ou des applications hors ligne. Le cold staking est souvent utilisé lorsqu’il est décidé de bloquer de grandes quantités de crypto et d’éviter le risque potentiel de cyberattaques. Le niveau de sécurité de ce système est élevé, cependant, dans ce cas, le jalonnement doit être géré de manière indépendante, sans l’intervention de tiers, et pour cela, il faut être familier avec les mécanismes. Même si elles sont hors ligne, les crypto-monnaies des portefeuilles froids sont toujours connectées à la blockchain et les récompenses sont obtenues comme dans le jalonnement en ligne.

2. Staking via CEX ou DEX

L’un des services les plus utilisés pour faire du staking en ligne est celui des exchanges. Qu’ils soient centralisés ou décentralisés, les exchanges proposent souvent des guides détaillés expliquant comment utiliser les outils de staking. Chaque exchange a ses spécificités et se distingue par le type de solution, les cryptos supportées et l’APY proposé. Vous pouvez choisir celui qui correspond le mieux à vos besoins.

Sur Young Platform, vous avez accès à une solution de staking simple et intuitive, directement sur la plateforme. Actuellement, vous pouvez verrouiller différentes cryptomonnaies compatibles avec le staking et recevoir des récompenses calculées sur la base de l’APY, proportionnelles au montant que vous décidez de staker.

Young Platform propose deux modes de staking :

  • Liquid Staking, qui permet de conserver une plus grande flexibilité sur les cryptos stakées, sans obligation de blocage à long terme.
  • Proof of Stake, qui permet de participer activement à la sécurité du réseau tout en obtenant des récompenses plus élevées que d’autres solutions.

En savoir plus: Introduction à le Staking : une manière innovante de mettre vos cryptos au travail.

3. Staking Pools : protocoles décentralisés et dapps

Il existe également de nombreux protocoles décentralisés et dapps qui offrent différentes possibilités de staking. Par exemple, il est possible de bloquer des cryptomonnaies dans les Staking Pools, c’est-à-dire des smart contracts ou des fonctionnalités qui agrègent les stakes de différents utilisateurs. Les pools de staking sont généralement utilisés par les nœuds d’une blockchain pour augmenter la taille de leur stake et donc la probabilité d’être choisis comme validateurs. En outre, les protocoles et les plateformes DeFi offrent également des options de staking derivative et de liquid staking, dans lesquelles les récompenses sont obtenues par le biais de produits dérivés.

Staking de NFT

Le staking ne se fait pas seulement avec des coins ou des tokens, la dernière frontière de la finance décentralisée implique également le staking de NFT. Le fonctionnement est similaire au staking classique : en verrouillant ses tokens non fongibles dans des plateformes spéciales, on peut recevoir des récompenses en crypto. Tous les NFT ne se prêtent pas à cette pratique, une collection qui a mis en œuvre cette fonction est les Moonbirds de la start-up Proof. Le staking des NFT leur permet de tirer le meilleur parti de leurs œuvres d’art numériques et, dans certains cas, de participer à la gouvernance de leurs projets.

Maintenant que tu as vu tous les éléments à prendre en compte pour le staking de cryptomonnaies, découvre ces 5 choses que tu ne savais pas sur le staking et le Proof-of-Stake !


Corporate Welfare : qu’est-ce que c’est et comment ça fonctionne ?

Qu’est-ce que le corporate welfare et comment améliore-t-il le bien-être des employés ?

Si vous vous interrogez sur le corporate welfare et son fonctionnement, vous êtes au bon endroit ! Le corporate welfare désigne l’ensemble des avantages non monétaires qu’une entreprise met en place pour améliorer la qualité de vie de ses employés.

Il est essentiel de s’intéresser à cette pratique, à son évolution en 2023 et à son objectif principal : le bien-être des employés et de leurs familles. En plus d’offrir divers avantages sociaux, le corporate welfare peut aussi améliorer la performance de l’entreprise, un facteur souvent directement lié au bien-être des collaborateurs.

Alors, qu’est-ce que le corporate welfare exactement ? Comment fonctionne-t-il concrètement ? Quelles sont les initiatives les plus précieuses et populaires dans notre pays ?

Nous répondrons à toutes ces questions dans cet article !

Corporate Welfare : comment ça fonctionne ?

La définition la plus simple du corporate welfare désigne un ensemble d’initiatives visant à améliorer le bien-être global des employés d’une entreprise ainsi que celui de leurs familles. Ces actions incluent notamment des mesures favorisant le pouvoir d’achat des salariés et l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Lorsqu’elles sont mises en place de manière réfléchie et stratégique, ces initiatives contribuent à un meilleur climat de travail, tout en stimulant la motivation et la performance des employés.

Pour mieux comprendre le corporate welfare, examinons ses principales applications et quelques initiatives populaires. Parmi les exemples les plus courants, on retrouve :

  • Les tickets-restaurants
  • Les chèques-cadeaux
  • Les voitures de fonction
  • Les assurances adaptées aux besoins des salariés

Nous approfondirons ces aspects dans la dernière section. Avant cela, voyons quels sont les avantages concrets de ces initiatives.

Avantages pour les employés et les entreprises

Un programme de corporate welfare bien structuré offre de nombreux avantages, aussi bien pour les employés que pour l’entreprise. Un meilleur environnement de travail renforce la motivation et la productivité des salariés. Lorsqu’ils sentent que l’entreprise prend réellement en compte leur bien-être physique et psychologique, ils se sentent plus valorisés et atteignent plus facilement les objectifs communs, avec moins de stress.

Cette satisfaction accrue des employés profite également à l’entreprise en améliorant ses performances et sa productivité, tout en la rendant plus attractive pour attirer et fidéliser les talents.

Selon le SME Welfare Index Report 2022, les entreprises ayant un niveau élevé de corporate welfare enregistrent des bénéfices supérieurs à celles ayant une approche plus limitée. Une étude relayée par Forbes entre 2019 et 2022 montre que les entreprises offrant des avantages sociaux à leurs employés ont connu une augmentation médiane de leur chiffre d’affaires de 37 %, soit plus du double des 18 % enregistrés par les entreprises sans programme de welfare.

De plus, une réduction de l’absentéisme et un taux de turnover plus faible sont souvent des indicateurs clairs de l’efficacité d’un plan de corporate welfare.

Avantages fiscaux

Comprendre les bénéfices fiscaux liés aux initiatives de corporate welfare est essentiel pour saisir leur fonctionnement. En Italie, l’article 51 du Testo Unico delle Imposte sui Redditi (TUIR), principale référence législative en la matière, oriente les entreprises appliquant les Conventions Collectives Nationales de Travail (CCNL) et souhaitant bénéficier des avantages associés.

L’un des principaux atouts de ces programmes est que, selon le CCNL applicable, les coûts engagés pour la mise en place de services de welfare peuvent être partiellement ou totalement déductibles, réduisant ainsi le revenu imposable de l’entreprise.

Dans certains cas, l’octroi de prestations, remboursements ou bons d’achat peut être obligatoire pour les entreprises. Ces obligations découlent généralement des dispositions prévues dans le CCNL ou dans la réglementation interne de l’entreprise, notamment dans les secteurs suivants :

  • Métallurgie
  • Télécommunications
  • Orfèvrerie et joaillerie
  • Personnel des maisons de retraite
  • Aides à domicile et personnel soignant

Corporate Welfare : les avantages les plus populaires

Pour mieux comprendre le corporate welfare et son fonctionnement, il est utile d’examiner les avantages et services les plus courants dans notre pays. Ces dernières années, le nombre d’entreprises ayant déjà mis en place ou étant en train d’adopter un plan de welfare pour leurs employés a considérablement augmenté.

Tickets-restaurants

Les tickets-restaurants sont de loin l’avantage de corporate welfare le plus répandu. Selon une enquête IPSOS, 70 % des entreprises italiennes en fournissent à leurs employés.

Récemment, ces tickets sont devenus encore plus attractifs grâce à l’augmentation du plafond de déductibilité : avec l’approbation de la Loi de Finances 2020, le seuil est passé de 7 € à 8 € pour le format numérique.

Chèques-cadeaux et bons d’achat

Très demandés, ces vouchers sont appréciés par 52 % des salariés interrogés. Selon les données d’Edenred, l’émission de chèques-cadeaux a augmenté de 30 % entre 2019 et 2020, une tendance qui continue à se renforcer.

L’attractivité de cette forme de corporate welfare repose sur ses avantages fiscaux considérables :

  • Pour les employés, les chèques-cadeaux inférieurs à 258,23 € (pour ceux sans enfants) et jusqu’à 3 000 € (pour ceux avec enfants) ne sont pas imposables.
  • Pour les employeurs, ces coûts sont entièrement déductibles en tant que dépenses liées à l’emploi, qu’ils soient considérés comme avantages en nature (fringe benefits) ou comme primes et incitations.

Un autre avantage majeur est que ces chèques laissent aux employés une grande liberté quant à la manière de dépenser les fonds reçus.

Si vous êtes chef d’entreprise, vous pouvez envisager de distribuer des vouchers Young Platform à vos employés ou de leur offrir cette option comme alternative. Cette approche renforce leur bien-être et leur pouvoir d’achat, qui peuvent être affectés par l’inflation et la dévaluation de l’euro, notamment grâce aux investissements en cryptomonnaies.

Appareils technologiques

Cette catégorie regroupe tous les outils nécessaires au travail des employés, comme les PC et smartphones, fournis par l’entreprise pour leur permettre d’accomplir leurs tâches efficacement. Selon IPSOS, 38 % des entreprises équipent leurs collaborateurs en matériel et logiciels essentiels. Cette pratique s’est fortement développée avec la montée du télétravail.

Assurances et couverture santé

Les initiatives de corporate welfare peuvent également inclure des assurances santé, le remboursement des frais médicaux, l’accès à des soins gratuits ou à tarifs réduits, ainsi que des assurances-vie.

Voiture de fonction

Ce véhicule mis à disposition pour un usage professionnel ne génère généralement pas de charges fiscales ou sociales supplémentaires pour l’employé. Dans certains cas, l’entreprise permet une utilisation personnelle du véhicule, auquel cas une imposition basée sur une valeur conventionnelle peut s’appliquer.

Ces exemples illustrent les principaux avantages offerts par les entreprises, permettant de mieux comprendre le fonctionnement du corporate welfare.Si vous souhaitez en savoir plus sur la distribution de vouchers aux employés de votre entreprise via Young Platform, contactez notre équipe à [email protected].

5 choses que vous ne savez pas sur Donald Trump

Donald Trump : 5 choses que vous ne savez pas

Donald Trump est de nouveau président des États-Unis. Sa vie mêle politique, affaires et divertissement, révélant des aspects que vous ignorez peut-être. Découvrez cinq faits intéressants qui le rendent unique.

Le 20 janvier, Donald Trump est officiellement devenu le 47ᵉ président des États-Unis. Il rejoint ainsi Stephen Grover Cleveland, qui reste le seul autre président de l’histoire à avoir exercé deux mandats non consécutifs (en 1885 et 1893). Ce détail n’est qu’un des nombreux éléments fascinants qui entourent le nouveau locataire de la Maison-Blanche.

Cela soulève une question : connaissons-nous vraiment Donald Trump ? Ses célèbres diatribes contre les médias et les journalistes peuvent sembler excessives, mais elles ne sont peut-être pas aussi choquantes qu’elles en ont l’air. Son parcours, à la fois dans le monde des affaires et en politique, a été façonné par un style de communication souvent surprenant, mais indéniablement efficace.

Voici cinq choses sur Donald Trump que vous ne connaissez probablement pas.

1. Son empire à Coney Island

Une partie de la fortune de Donald Trump provient de son père, Fred Trump, qui a bâti un modeste empire immobilier à Coney Island, une péninsule et un quartier du sud de New York, célèbre pour ses parcs d’attractions et ses lieux de divertissement.

Les appartements construits par Fred Trump dans l’après-guerre ont joué un rôle clé dans la carrière du futur président des États-Unis. Donald Trump a en effet obtenu de nombreux prêts en utilisant ces propriétés comme garantie.

2. Il a inventé un porte-parole

Vous ne le savez peut-être pas, mais une partie du succès de Donald Trump repose sur sa compréhension précoce de l’importance de la réputation et de la présence médiatique. Pour s’assurer d’être constamment cité dans les journaux et invité à la télévision, Trump est allé jusqu’à créer un porte-parole fictif, nommé Barron—un clin d’œil au prénom qu’il donnera plus tard à son fils avec Melania Trump.

Concrètement, il appelait lui-même les journaux en se faisant passer pour ce porte-parole, Barron, afin de partager des exclusivités, des informations et des déclarations sur lui-même. Ainsi, il contrôlait efficacement son propre récit médiatique et influençait l’opinion publique avec ses propres mots.

3. Il a inventé un porte-parole

Une partie du succès de Donald Trump repose sur sa compréhension précoce de l’importance de la réputation et de la couverture médiatique. Pour s’assurer une présence constante dans les journaux et à la télévision, il a même créé un porte-parole fictif nommé Barron—un prénom qu’il donnera plus tard à son fils avec Melania Trump.

Plus précisément, Trump appelait lui-même les rédactions des journaux en se faisant passer pour ce porte-parole, Barron, afin de diffuser des scoops, des informations et des déclarations sur lui-même. Ce stratagème lui permettait de contrôler son image médiatique et d’influencer l’opinion publique selon ses propres termes.

4. Il était un habitué de la WWE

Avant de devenir président, Donald Trump a fait plusieurs apparitions marquantes dans le monde du catch professionnel. En 2007, il a participé à une intrigue de la WWE qui a abouti à une scène mémorable lors de WrestleMania 23 : après avoir remporté un match, il a rasé la tête du propriétaire de la WWE, Vince McMahon.

Cet événement a mis en lumière le côté excentrique et auto-dérisoire de Trump, renforçant ainsi sa présence dans l’industrie du divertissement.

5. Marla Maples : “Le meilleur s** que j’ai jamais eu”**

Le titre de cette dernière anecdote sur Donald Trump est certes controversé, mais il illustre parfaitement sa relation unique avec les médias, en particulier avec la presse écrite.

Cette phrase est apparue pour la première fois à la une du New York Post, le 16 février 1990, peu après que le journal a révélé la liaison extraconjugale de Donald Trump avec Marla Maples, alors qu’il était encore marié à Ivana Trump. On ignore toujours si Trump a réellement prononcé ces mots, mais il semble qu’il ait encouragé le journal à les publier, démontrant ainsi son habileté à exploiter l’attention médiatique à son avantage.À la suite de cet épisode, de nombreux Américains ont commencé à voir Trump comme un amant passionné. Bien que cette perception ait peu d’impact sur ses affaires, il est intéressant de noter que, comme l’a souvent affirmé l’ancien président lui-même, la réputation est primordiale.

DeepSeek : l’IA chinoise qui a fait chuter le marché

Le marché s’est effondré après le lancement de la version R1 de DeepSeek, une intelligence artificielle développée par une entreprise chinoise. Que s’est-il passé ?

Au cours des dernières heures, les marchés—en particulier le NASDAQ (l’indice des principales entreprises technologiques) et l’indice des cryptomonnaies—ont fortement chuté. De nombreux analystes estiment que cette réaction est liée au lancement de la version R1 de DeepSeek, un système d’intelligence artificielle basé sur des modèles linguistiques similaires à ChatGPT.

En particulier, la rapidité avec laquelle DeepSeek a été développé et son coût extrêmement bas ont fait sensation, d’autant plus que le modèle est gratuit et open-source. Selon les déclarations de ses développeurs, la réalisation de DeepSeek R1 n’a nécessité que 6 millions de dollars et seulement deux mois de travail.

DeepSeek : une menace pour les États-Unis ?

Quelle est la principale inquiétude liée à cette innovation en intelligence artificielle, qui a contribué à la récente chute des valeurs technologiques ? La réponse est simple : DeepSeek semble fonctionner très bien, et les coûts de son développement sont dérisoires comparés à ceux engagés, par exemple, par Google pour “entraîner” Gemini (191 millions de dollars) ou par OpenAI pour lancer ChatGPT-5 (entre 1,7 et 2,5 milliards de dollars). Cet écart remet en question la solidité de la croissance impressionnante des actions liées à l’IA.

L’hypothèse la plus discutée—bien qu’elle doive être prise avec prudence—est que DeepSeek pourrait révolutionner le marché de l’intelligence artificielle et réduire considérablement la demande pour certains composants matériels. Cela pourrait déclencher une vague de ventes paniques. À l’inverse, certains estiment qu’il ne s’agit que d’un récit, un “catalyseur” classique utilisé pour expliquer des mouvements qui font en réalité partie des fluctuations normales du marché.

Qu’en est-il du marché des cryptomonnaies ?

Les cryptomonnaies ont connu une baisse pour deux raisons principales. Premièrement, il existe une forte corrélation entre le marché boursier et le marché crypto : lorsque l’un chute, il entraîne souvent l’autre. De plus, certains analystes pensent que des facteurs macroéconomiques sont en jeu. Par exemple, lors de la réunion du Comité Fédéral du Marché Ouvert (FOMC) du 29 janvier, les taux d’intérêt pourraient rester inchangés, voire être augmentés, malgré la volonté du nouveau président Donald Trump de les réduire.

Les mouvements du marché et des prix

L’indice Nasdaq a subi une correction de près de 4 % avant l’ouverture du marché, tandis que l’action NVIDIA a chuté de plus de 14 % en pré-marché avant de se redresser légèrement à l’ouverture des échanges.

Concernant les cryptomonnaies, le Bitcoin est tombé sous le seuil psychologique important des 100 000 $, un niveau considéré comme un support clé par certains analystes, avant de rebondir. Globalement, le sentiment autour de la principale cryptomonnaie reste stable. Des analystes renommés, comme Arthur Hayes, continuent de prévoir un prix du Bitcoin entre 180 000 et 250 000 $ au cours de ce marché haussier. De plus, il convient de noter que février a historiquement été un mois solide pour les cryptomonnaies, le Bitcoin affichant en moyenne une performance en hausse d’environ 15 %.

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DeepSeek n’est pas un “cygne noir”

Malgré l’alarmisme et les tentatives d’explication de la récente chute des prix, de nombreux experts estiment que DeepSeek ne doit pas être considéré comme un “cygne noir”. Par définition, un cygne noir fait référence à des événements imprévisibles et perturbateurs—comme des guerres, des pandémies ou l’effondrement inattendu de secteurs clés—qui peuvent radicalement modifier les marchés sur une longue période. Par exemple, les cygnes noirs du dernier cycle étaient l’effondrement de l’écosystème Terra-Luna et la faillite de la plateforme centralisée FTX.

Dans le cas de DeepSeek, cependant, nous avons affaire à une innovation qui, bien que prometteuse, est probablement déjà intégrée dans les prix du marché. Ceci est d’autant plus vrai à une époque où l’intelligence artificielle est au centre des discussions médiatiques et financières. Lorsqu’un sujet est sur toutes les lèvres et que tout le monde parle d’une éventuelle bulle, cela signifie souvent que l’information est déjà largement intégrée dans les prix.

Comme le soulignent plusieurs analystes sur les réseaux sociaux, un récit est souvent construit pour justifier des périodes de panique ou des ventes soudaines. Sans preuve concrète d’un effondrement généralisé, la correction actuelle du marché pourrait n’être qu’un ajustement technique dans une tendance haussière globale. Dans un marché connu pour sa volatilité, se concentrer sur les fondamentaux et les perspectives à long terme est la stratégie la plus prudente, évitant ainsi aux investisseurs d’être influencés par des hypothèses extrêmes ou des bruits temporaires.

Voici comment Donald Trump a généré 12 milliards en deux jours avec sa mème coin

La mème coin de Donald Trump sur Solana

Donald Trump a surpris tout le monde en lançant une mème coin sur Solana. Découvrez les derniers mouvements de prix et pourquoi cette initiative secoue le marché des cryptos.

Sans prévenir, dans la nuit de vendredi à samedi, à quelques jours de son investiture à la Maison Blanche, Donald Trump a annoncé une nouvelle qui a bouleversé le monde des cryptomonnaies. Le 47e président des États-Unis a dévoilé le lancement sur Solana d’une mème coin appelée Official Trump (TRUMP). En seulement quelques heures, cette cryptomonnaie a atteint une capitalisation de plus de 12 milliards de dollars.

Certains investisseurs ont d’abord cru à une blague ou à un piratage des réseaux sociaux. Cependant, les confirmations sont venues directement de CIC Digital LLC, la mème entité qui a géré le lancement des collections NFT de Trump.

Le token a été lancée avec une image de Trump inspirée d’une tentative d’assassinat en juillet dernier à Butler, en Pennsylvanie. Cette initiative commerciale a divisé l’opinion publique : certains la critiquent comme une tentative flagrante de tirer profit de la fonction présidentielle, tandis que d’autres y voient un symbole célébrant sa victoire.

Official Trump (TRUMP) : le token présidentiel sur Solana

L’idée derrière Official Trump (TRUMP) est claire : s’imposer comme l’unique mème coin “officiel” de Donald Trump. Selon les informations communiquées par l’équipe, 200 millions de TRUMP ont été mis en circulation dès le premier jour, avec un objectif d’atteindre une offre totale de 1 milliard d’ici trois ans.

  • Prix actuel : selon les dernières données, 1 TRUMP vaut environ 53 $.
  • Volume d’échange : en 24 heures, la mème coin a enregistré des volumes de transaction d’environ 51 milliards de dollars, un record pour ce marché.
  • Répartition : 80 % des tokens appartiennent à CIC Digital LLC, affiliée à la Trump Organization, et à Fight Fight Fight LLC, une société enregistrée dans le Delaware le 7 janvier. Ces deux entités recevront une part non divulguée des revenus générés par le trading.

Trump a annoncé le lancement du token via les réseaux sociaux :
“Il est temps de célébrer tout ce que nous représentons : GAGNEZ ! Rejoignez ma communauté Trump spéciale. OBTENEZ VOTRE $TRUMP MAINTENANT.”

En quelques heures, le token est entré dans le top 20 des cryptomonnaies en termes de capitalisation.

Dans les mentions légales, il est précisé que les tokens ne doivent pas être considérés comme une “opportunité d’investissement” ou un “titre”, mais comme une expression de soutien aux idéaux incarnés par le symbole $TRUMP.

Réactions du marché et de la communauté

L’opinion publique reste divisée :

  • Pro : les partisans voient dans TRUMP une façon de démocratiser l’accès aux actifs numériques et de célébrer une figure politique majeure.
  • Contre : les critiques craignent un usage abusif de la fonction présidentielle à des fins commerciales, soulevant des préoccupations éthiques et réglementaires.

Critique et scepticisme

De nombreux analystes et investisseurs ont exprimé des doutes sur l’opération. Nick Tomaino, investisseur en capital-risque et ancien cadre de Coinbase, a déclaré : “Le fait que Trump possède 80 % des tokens et qu’il les ait lancés à l’approche de l’investiture est prédateur, et beaucoup pourraient subir des pertes.”

The Kobeissi Letter, un célèbre analyste de l’industrie, a également commenté négativement le X, décrivant l’opération comme “à la limite de la folie”. Elle rappelle notamment que le lancement de $MELANIA, un autre mèmecoin lié à la famille Trump, a entraîné la pulvérisation de 7,5 milliards de dollars en seulement 10 minutes.

Soutien et célébration

D’autre part, la communauté des partisans de Trump voit dans cette initiative un symbole de victoire et de célébration. Avec le slogan “It’s time to celebrate everything we stand for : WIN !”, Trump a attiré des milliers d’acheteurs, alimentant le battage médiatique autour du projet.

Le lancement de $MELANIA fait concurrence à $TRUMP

Le lancement de $MELANIA, qui a eu lieu un peu plus de 24 heures après celui de Trump, semble avoir eu un impact inattendu sur le marché, incitant certains traders à vendre la token mème $TRUMP pour parier sur une nouvelle cible. “Le mème officiel de Melania est disponible ! Vous pouvez acheter $MELANIA maintenant”, a-t-on écrit sur X, puis partagé par Trump.

Immédiatement après les débuts de $MELANIA, la valeur de $TRUMP a chuté de plus de 50 %, passant de 75 à 30 dollars, avant de remonter progressivement dans les heures qui ont suivi pour atteindre environ 64 dollars. Pendant ce temps, la capitalisation boursière de $MELANIA a atteint le chiffre impressionnant de 13 milliards de dollars.

Du scepticisme au soutien des cryptomonnaies ?

Donald Trump, autrefois critique envers les cryptomonnaies – qu’il avait qualifiées de “fraudes” – a radicalement changé de ton durant sa campagne présidentielle. Il s’est présenté comme le “président des cryptos”, devenant le premier candidat à accepter des dons en cryptomonnaies.

Dans le sillage de cet intérêt, Trump avait déjà lancé un projet DeFi sur Ethereum appelé World Liberty Financial. Toutefois, dans ce cas, les membres de la famille Trump n’étaient pas propriétaires de la plateforme et ne jouaient pas de rôle officiel dans l’entreprise.

Trump a également promis de réduire les obstacles réglementaires pesant sur les entreprises du secteur crypto et de mettre en place un conseil consultatif dédié. Parmi ses propositions figure un décret exécutif reconnaissant le Bitcoin comme prioritaire dans la politique nationale et permettant au gouvernement de créer une réserve fédérale de Bitcoin.

Ce week-end agité dans la finance décentralisée a également eu un impact sur le prix du Bitcoin, qui a atteint un nouveau record historique à 109 500 $.

Trump Token : la dernière étape du merchandising de la campagne

La mème coin TRUMP est le dernier ajout à une gamme croissante de produits de merchandising, qui inclut déjà des parfums, des montres “Trump Watches” (jusqu’à 100 000 $), des éditions limitées de sneakers, des Bibles estampillées Trump, et des NFT de collection. Les seuls NFT et guitares signées Trump ont généré 11,8 millions de dollars de revenus.

Comment les autres “tokens Trump” ont-ils réagi ?

La nouvelle n’a pas manqué de faire des ravages parmi les diverses cryptomonnaies qui utilisaient déjà le nom ou l’image de Trump – des projets qui ont vu le jour bien avant le lancement officiel de TRUMP. Nombre de ces tokens, qui avaient pourtant connu un regain de popularité au cours des derniers mois en raison des exploits politiques et autres du magnat, ont immédiatement perdu de la valeur, au profit du mèmecoin plus “authentique” signé CIC Digital LLC.

  • Fluctuation des performances : quelques heures après la présentation officielle de TRUMP, les autres tokens sur le thème de Trump ont enregistré une baisse des volumes d’échange.
  • Consolidation possible : il n’est pas exclu que certains projets “non officiels” tentent de changer de marque ou de collaborer pour se distinguer, mème si la concurrence avec la “marque Trump” d’origine pourrait s’avérer un défi complexe.

Que se passe-t-il maintenant ?

L’effet médiatique généré par ce mèmecoin est déjà évident : l’officiel Trump (TRUMP) a catalysé l’attention de la presse et des médias sociaux, alimentant le débat sur la manière dont les dirigeants politiques peuvent influencer (et parfois fausser) les marchés des cryptomonnaies.

Les prochaines étapes pourraient concerner

  1. Nouvelles cotations sur les marchés boursiers : si TRUMP était admis sur des plates-formes de négociation à fort volume, la capitalisation pourrait encore augmenter.
  2. Développement de l’utilité : au-delà de la dimension “mème”, le projet pourrait évoluer avec des fonctionnalités supplémentaires, telles que le staking, la gouvernance ou les synergies avec le monde des NFT.
  3. Réglementation : l’hypothèse d’un mèmecoin soutenu publiquement par un président américain en exercice soulève un certain nombre de questions d’un point de vue réglementaire, compte tenu notamment de la propension de certaines autorités à surveiller étroitement les actifs numériques.

Qu’est-ce que les mèmecoins ?

Les mèmecoins sont des cryptomonnaies inspirées par des mèmes, des blagues ou des phénomènes internet viraux. Contrairement aux tokens utilitaires, les mèmecoins sont souvent créés pour exploiter la popularité d’un mème ou d’une communauté. Deux des exemples les plus célèbres sont le Dogecoin, créé comme une blague basée sur le mème du chien Shiba Inu, et le Shiba Inu, développé comme une réponse directe au Dogecoin.

Ces cryptomonnaies sont souvent lancées avec des motivations liées à l’humour ou à la volonté de surfer sur une tendance. Leur valeur est principalement basée sur le soutien de la communauté et la spéculation, plutôt que sur une utilité réelle ou une innovation technologique. Le prix d’un mèmecoin est alimenté par la demande et le battage médiatique du moment, ce qui le rend extrêmèment volatile.

En conclusion, le lancement de l’Official Trump (TRUMP) représente un cas unique dans le paysage cryptographique, avec des implications qui vont au-delà du marché du mème coin. La principale question reste de savoir si cette opération établira une nouvelle norme pour l’utilisation des cryptomonnaies par les dirigeants politiques et les personnalités publiques ou si elle ne sera qu’une parenthèse controversée dans le monde des cryptomonnaies.

L’achat de $TRUMP est hautement spéculatif et comporte un risque significatif de perte. La valeur de $TRUMP est sujette à une forte volatilité et peut fluctuer considérablement sur de courtes périodes. Veuillez noter : $TRUMP est une mème coin, une cryptomonnaie basée sur un mème internet, et sa valeur peut être influencée par des facteurs non liés aux fondamentaux économiques. Le marché des cryptomonnaies est largement non réglementé, et les acheteurs disposent d’une protection limitée en cas de pertes. Les informations fournies dans cette newsletter ne constituent en aucun cas un conseil financier. Il est recommandé de consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’achat. Investissez uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre, et comprenez pleinement les risques associés à l’achat de cryptomonnaies, en particulier des mème coins, avant de procéder.